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CONTEXTE

Bien qu'il y ait eu certains progrès par rapport à l'égalité des genres en loisir, celle-ci n'est malheureusement pas atteinte. L'égalité des genres se manifeste par la parité dans les sphères de décisions, mais aussi par l'abolition des stéréotypes de genre et la transformation des cultures organisationnelles. Voici quelques exemples d'inégalités auxquelles les femmes en loisir doivent régulièrement faire face. 

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Seulement 33 % de femmes siègent aux conseils d'administration en loisir

Selon l'enquête nationale du portrait de la main-d'œuvre en économie sociale et action communautaire réalisée par le CSMO-ÉSAC en 2018, les conseils d'administration en loisir sont représentés par seulement 33% de femmes. 

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Seulement 25% du temps de parole et  plus d'interruptions

Une étude de la Brigham Young University et Princeton University estime que les hommes utilisent 75 % du temps de parole au cours d’une réunion de travail, et interrompent une femme 23 % de plus qu’un autre homme. Une étude de Harvard a révélé que plus le groupe est grand, plus les hommes ont tendance à parler.

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Près de 2 heures de travail supplémentaire par jour

En 2019, Statistique Canada a évalué que les femmes effectuaient  54 minutes de plus par jour de tâches ménagères que les hommes. De plus, les mères passent un autre 54 minutes de plus que les pères à prendre soin des enfants. 

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Une parole qui coûte plus cher

Plus les hommes deviennent puissants, plus ils parlent ; il n'en est pas de même pour les femmes. Avec raison, les femmes s'inquiètent de recevoir des réactions défavorables lorsqu’elles parlent davantage. Une étude de Yale a révélé que les auditeurs masculins et féminins ont tendance à penser rapidement que les femmes qui parlent plus parlent trop ou de façon trop agressive. Les hommes sont récompensés pour parler plus, alors que les femmes sont punies.

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76% des femmes sont évaluées selon des caractéristiques personnelles par rapport à 2% des hommes

Les femmes sont plus fréquemment évaluées selon des caractéristiques personnelles (par exemple, leur fréquence de sourire ou d'agressivité) : 76 % des femmes reçoivent ce genre de commentaires par rapport à 2 % des hommes, selon l'étude menée par Kieran Snyder.

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Une pandémie sur le dos des femmes

Les mères sont plus susceptibles que les pères de réduire leur charge au travail ou de quitter leur emploi à cause de Covid-19. 76% des mères qui ont des enfants de moins de 10 ans déclarent que la garde d'enfants est l'un de leurs trois principaux défis durant la pandémie Covid-19, par rapport à 54% des pères de jeunes enfants.

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